Dire que la pêche des prédateurs a été inégale cette saison 2021/2022 serait un euphémisme ! Avec des conditions météorologiques changeantes et un manque sérieux de pluie, les drainages ont parfois été très difficiles avec seulement de petits poissons à montrer pour nos efforts. La saison a démarré plus tard que d'habitude avec ma première séance le 29 novembre.
Arriver aux premières lueurs du jour pour trouver le drain à moitié gelé n'était pas le meilleur début, mais après avoir parcouru un bon chemin pour trouver un trou dans la glace, j'ai rapidement eu deux cannes à pêcher avec mes fidèles appâts morts de lamproie. Peu de temps après, ma tige proche était partie avec un beau cric d'environ 8 ou 9 lb à l'extrémité, suivi de peu par un autre de taille similaire sur la tige placée au milieu du drain. Il ne s'est pas passé grand chose le reste de la journée à part un autre petit Jack malgré ses déplacements tout au long du drain en essayant différentes zones pour couvrir autant d'eau que possible.
J'ai ensuite réussi deux ou trois voyages supplémentaires avant Noël sur différentes sections de canalisations, mais tous avec des résultats similaires, atterrissant de jolis jacks dodus mais sans signe de quelque chose de décent. Ce n'est qu'au réveillon du Nouvel An que j'ai organisé une sortie de pêche avec mon père pour une séance sur une section de drain que nous n'avions jamais visitée auparavant et que j'ai attrapé un poisson légèrement meilleur autour du double faible. Un beau brochet gras qui s'était bien nourri mais qui a quand même réussi à attraper ma lamproie qui était positionnée au bas de l'étagère la plus proche ! Une région qui mériterait certainement d'être visitée à nouveau, c'est sûr. Après avoir rattrapé papa, je suis ressorti le matin pour une nouvelle tentative, cette fois avec mon frère Adam sur le tronçon d'égout que j'ai visité pour la première fois fin novembre.
L'action s'est déroulée assez rapidement en attrapant un carangue vif qui a encore une fois attrapé une lamproie dans les marges, rapidement suivi d'une autre un peu plus grosse sur un Bluey. Typique de la pêche au drain, la situation s'est calmée vers l'heure du déjeuner, puis une vague d'activité s'est à nouveau produite en milieu d'après-midi. À la fin, j’en ai décroché quatre, j’en ai raté quelques-uns et mon frère a décroché le meilleur, un autre double faible. La journée la plus productive de la saison jusqu'à présent mais toujours aucun signe de poisson décent !
Déterminé à trouver de meilleurs poissons, les deux prochains voyages ont été consacrés à sauter le long du drain, en passant environ une heure dans chaque endroit probable, puis en continuant. Avec seulement deux cannes, un petit sac à dos, un filet et un tapis de décrochage, vous pouvez couvrir environ un mile de drainage pendant une journée de pêche complète. Mais même cette approche s’est avérée plutôt infructueuse, ne produisant que quelques jacks résidents. Cela s’est vraiment avéré être un hiver très difficile pour moi, avec un temps changeant toutes les cinq minutes, allant de gelées nocturnes à 15 degrés et des vents violents, ce qui, comme le savent tous ceux qui ont déjà pêché dans les Fens, est loin d’être idéal !
Avec un mois de décembre et de janvier si difficiles derrière moi, j'avais hâte d'essayer début février mon nouveau sondeur Lowrance Tripleshot Echo, équipé sur mon Fox 2,9 mètres gonflable. Espérons que cela révélerait quelque chose d’intéressant et aiderait à localiser des poissons-appâts au lieu de marcher des kilomètres et de pêcher à l’aveugle.
Gardez un œil sur le prochain blog pour savoir comment je m'en sors !
Lignes serrées
Mickey.
Vous pouvez suivre nos aventures de pêche sur notre chaîne YouTube :